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Les Tracts

Titres - Restaurant

 

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Date d'application décalée

L'accord d'entreprise SNCF "Titres-Restaurant", négocié et validé par l'UNSA-Ferroviaire, prévoyait initialement une mise en application au 1er octobre 2016. L’appel d’offres lancé par la SNCF pour leur mise en place a fait l’objet d’un référé précontractuel* par l’un des prestataires non retenus. La décision rendue par le Tribunal administratif de Lyon contraint la SNCF à reprendre la procédure depuis le début...
La SNCF annonce dès lors, que compte tenu des délais de procédures incompressibles, la mise en place des Titres-restaurant ne pourra avoir lieu avant le 1er février 2017. Dans le cadre de la détermination des agents éligibles, la date de retour des établissements se trouve également repoussée au 30 novembre 2016.
L'UNSA-Ferroviaire déplore ce contretemps préjudiciable aux agents éligibles, dont l'attente est très forte sur le sujet. L'UNSA-Ferroviaire demande à l'Entreprise suite au décalage d'application :

  • que les agents puissent être dotés de "titres papier" si des restaurants n'acceptent pas les titres dématérialisés (en remplacement de la carte à puce initialement choisie),
  • que la démarche de renoncement individuelle soit annuelle et non sur la durée totale de l'accord,
  • que les cantines SNCF qui pratiquent "un tarif extérieur" envers certains agents SNCF, ne soient pas considérées comme des "restaurants d'entreprise" au regard de l'accord,
  • que la part employeur (3,5 € / TR) soit dynamisée au futur plafond légal pour la loi de finances 2017,
  • enfin, que les 2,4 millions € provisionnés en 2016 pour les Titres-restaurant contribuent à l'amélioration des conditions de travail des salariés de la SNCF...

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SUGE : Stand de tir de Louvres

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Halte au feu !

Par décision du maire de la commune de Roissy-en-France, son stand de tir a été fermé, obligeant l’Université de la Sûreté à délocaliser les formations au stand de Louvres sans que les Instances Représentatives du Personnel ne soient consultées.
Très rapidement, des dysfonctionnements sont apparus, tant au niveau de la sécurité que de l’hygiène. Alors que l’UNSA-Ferroviaire avait immédiatement alerté la Direction de la Sûreté et qu’un droit de retrait avait été exercé par les formateurs de l’UDSUR, la Direction demandait aux formateurs de reprendre le travail en proposant de "futurs aménagements" affirmant même que le risque n’était pas avéré...
La conséquence presque immédiate et prévisible fut qu’un stagiaire reçut un retour de projectile lui occasionnant une blessure au front avec saignement et traumatisme. Même si cette blessure fut "superficielle", elle a nécessité une admission aux urgences du CHU. L’UNSA-Ferroviaire est vigilante et demande que tout soit fait, sans délai, pour que la Direction de la Sûreté n’expose pas davantage ses personnels à ces risques potentiels et avérés.

L'UNSA interpelle la Direction !

- Quels sont les travaux entrepris et à entreprendre ?
- Qu’est-il envisagé en attendant que des dispositions soient prises et effectives ?
- Qui attestera de la conformité des travaux ?


En raison de la gravité du risque encouru, il est évident qu’une certification par un organisme externe s’impose. L’UNSA-Ferroviaire rappelle les responsabilités de chacun en la matière et ne tolérera pas que les stagiaires et formateurs s’exposent davantage dans le cadre de ces formations TIR.

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Le Mag 807

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Feux-Verts

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CCGPF 13/12/2017

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EVS 2018

evs2018