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Les Tracts

THI FACTORY

 

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Les salariés valident majoritairement les accords d'entreprise !

Les salariés de Thi Factory, par leur vote du lundi 28 novembre 2016, valident à une large majorité les nouveaux accords d'entreprise, négociés et signés par l’UNSA-Ferroviaire ! (1)


Une fois de plus, l’analyse et l’efficacité de l’UNSA-Ferroviaire lors des négociations des Accords au profit de TOUS les salariés, ont été plébiscitées et reconnues au travers de ce scrutin !


(1) Thi Factory
est en période dérogatoire suite au refus d'une Organisation Syndicale de vouloir organiser des élections professionnelles en 2016, soit dans les 2 ans suivant la création de l'Entreprise Ferroviaire. Les accords d'entreprise sont de fait soumis au vote des salariés pour leur ratification, à défaut d'Instances Représentatives du Personnel mises en place (DP & CE).

 

 

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Forfait - Jours, une copie à revoir !

 

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Table ronde du 24 novembre 2016

L’UNSA-Ferroviaire a participé à la table ronde du 24 novembre avec une feuille de route : les demandes fortes et partagées de l’encadrement, transmises à la Direction sous forme d’un cahier revendicatif portant sur 42 points, repris en totalité dans une proposition d’accord remis à l’Entreprise lors de cette table ronde.


À ce jour, le projet d’accord présenté par la Direction n’est pas acceptable !
La reconnaissance de l’autonomie de l’encadrement serait une véritable révolution culturelle, managériale et structurelle. Le Forfait-Jours doit être un levier de transformation de la culture de l’Entreprise. Il doit garantir la souplesse aux salariés autonomes et renforcer leur qualité de vie au travail ainsi que l’équilibre vie professionnelle/vie personnelle.

Une copie à revoir !
De nombreux sujets restent à expliciter et à compléter :
- Le travail de fond sur les emplois repères et fiches de postes,
- Les études approfondies des cadres d’organisation et des charges des établissements en concertation avec les CHSCT,
- Le cadrage de la charge de travail individualisée,
- Le renforcement des services d’appui (ex. pôles UO),
- Les moyens techniques déployés,
- Les conditions à mettre en oeuvre pour un respect strict du droit à la déconnexion,
- Une meilleure appréhension de la GPEC et de la formation,
- Une information juridique explicative des conséquences d’un avenant au contrat de travail pour le Forfait-Jours.
L’UNSA-Ferroviaire : à l’écoute des femmes et des hommes du GPF !
De nombreux Cadres et agents de maîtrise sont encore exclus du Forfait-Jours :
- Cadres, agents de maitrise, personnels de Direction, de Région,
- Personnels des services médico-sociaux,
- Manageurs de projets, de la MOA et de la MOE,
- Personnels ex RFF (il est d’ailleurs surprenant que seule l’UNSA-Ferroviaire s’intéresse à la situation de ces cheminot(e)s),

L’UNSA-Ferroviaire, vigilante et exigeante, au service du progrès social !
Il nous faut apporter une solution pour tous ceux qui sont aujourd’hui au Titre III et non repris dans l’accord.

Les discussions se poursuivent et l'UNSA-Ferroviaire continuera d’être force de propositions. Mais face à un accord déséquilibré et injuste, notre Organisation ne s’interdira rien !

 

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Activités Sociales & CE

 

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L'UNSA rétablit la vérité !

 

Mise en cause dans de nombreux tracts CGT, l'UNSA-Ferroviaire utilise sont droit de réponse.

 

Budget Activités sociales

 

L'UNSA-Ferroviaire revendique un juste retour des 100 millions d'Euros issus du budget des Activités sociales CE/CCGPF SNCF, via de nouvelles  prestations modernes, sans démagogie, ni mensonge...

 

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Evolution du Chapitre 12 du Statut

 

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Bon sang ! Du bon sens !

Une délégation UNSA-Ferroviaire était reçue vendredi 18 novembre 2016 par la Direction Cohésion et RH Ferroviaire afin d'échanger sur la modification du Chapitre 12 du Statut des relations collectives entre les ÉPIC et leurs personnels.
Pour la Direction, la question de l'homologation de cette modification statutaire ne se pose pas, puisque celle-ci est intervenue en novembre 2014.
Retour en arrière pour bien comprendre les motivations de l’Entreprise.
Selon les dispositions antérieures du Chapitre 12 du statut, la reprise du travail pendant une seule journée, entre deux arrêts de maladie, remettait les compteurs du décompte du nombre de journée d’absence à zéro. Et ainsi, un salarié pouvait répéter les absences pour maladie de courte durée sans aucune incidence sur sa rémunération.

Dès 2012, l’Entreprise évoquait la situation chronique de quelques salariés, plus de deux cents, qui auraient été bien au fait du mécanisme. Ainsi, la reprise d’au moins une journée de travail permettait à l’agent de bénéficier, de nouveau, du droit au maintien de la totalité de la rémunération, comme s’il ne s’était jamais arrêté.
Suite à ce constat, des discussions se sont engagées avec les partenaires sociaux. Elles se sont poursuivies dans le cadre de la Commission Mixte du Statut qui en 2014 intégrait la prochaine modification de l’article 6.1 du statut.
Au travers de cette modification, un processus a été imaginé pour dissuader les salariés potentiellement indélicats de persister dans ce qui pouvait s’apparenter à des comportements abusifs. La montée en charge progressive du nouveau SIRH a permis de mettre en place un décompte précis des absences.

Et maintenant ?
Depuis le 1er juillet 2016, les nouvelles dispositions sont appliquées pour le décompte des arrêts de travail pour maladie et la conséquence de cette évolution majeure concernant les nouvelles règles de décompte est l’impact sur les prestations en espèces versées par l’Entreprise aux salariés. En cas d’absence pour maladie supérieure à 184 journées cumulées sur les 12 derniers mois (glissants) l'agent est placé en demi-solde pendant son nouvel arrêt. Au-delà de 365 jours il est placé sans solde.
Si la nouvelle règle de décompte permet de réduire, voire de supprimer, l’abus des absences répétitives de courte durée pour des motifs pas toujours vertueux, et ce malgré la possibilité pour l’Entreprise et la Caisse de procéder à des contrôles administratifs, elle peut de fait entrainer dans de graves difficultés des salariés cumulant de réels problèmes de santé. Toute la difficulté consiste à distinguer les situations complexes des situations pouvant être abusives. Chaque salarié peut être concerné.

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Le Mag 807

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Feux-Verts

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CCGPF 13/12/2017

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EVS 2018

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