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Gazette UNSA Picardie du mois de Septembre 2015

gazette_0915

Le mot du Secrétaire

Edito

Cher collègue,
La période électorale est propice à une profusion d'informations, de tracts de tout genre et pour certains à mettre un point d'honneur à la désinformation.
A l'UNSA-Ferroviaire, nous faisons ce que nous avons toujours fait, à savoir militer avec responsabilité et pragmatisme, pas uniquement lors des périodes électorales, mais chaque jour et pour toutes occasions.
Toutes nos décisions sont décidées démocratiquement par nos adhérents et militants afin de garantir les droits des agents dans une entreprise qui évolue tant sur le plan législatif que sur le plan économique et politique.
Dans un contexte délétère, l'UNSA -Ferroviaire ne peut rester muette face à toute la désinformation qui circule.

Face à ceux qui mettent tout sur le dos de la réforme, tout sur le dos de l'UNSA qui a fait le choix de négocier au mieux disant, et face à ceux qui n'ont rien fait d'autre que critiquer sans rien proposer et qui n'ont plus d'autre choix que de copier nos graphismes et couleurs ou de diffamer nos militants, l'UNSA-Ferroviaire répond : La concurrence est imposée par l'Europe et les directives européennes :
Pour l'UNSA-Ferroviaire la concurrence n'apportera ni solution au financement, ni amélioration de la qualité de services. Nous sommes dans un pays de droit écrit. Lorsque les lois sont débattues et votées, elles sont applicables.


C’est le cas de la loi du 4 août 2014, portant réforme du système ferroviaire. Demander le retrait de cette loi, comme certains l’affichent, c’est mentir aux cheminots et aux salariés du Groupe Public Ferroviaire.

La concurrence étant en vigueur par des directives européennes, elle doit être une concurrence entre les entreprises de transport et non entre les salariés de ces entreprises ! Il était donc vital d'assurer l'intégrité des trois EPIC dans le Groupe Public Ferroviaire et c'est ce que l'UNSA a fait avec le dépôt de plus de 40 amendements sur les textes de loi. Si le GPF n'avait pas été créé, les cheminots seraient aujourd'hui éclatés en plusieurs Sociétés Anonymes ! Et certains n'auraient pas gardé leur statut.

EST-CE CELA QUE LES DÉTRACTEURS DE LA REFORME VOULAIENT ? POURQUOI NE DISENT-ILS PAS CE QU'ILS AURAIENT SOUHAITÉ ?


Philippe DUMÉ
Secrétaire Régional
UNSA Ferroviaire Picardie

 

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