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Les Tracts

Convention Collective Nationale : Métier ASCT

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L'UNSA revendique le statut de ROULANT pour tous les ASCT

La négociation de la Convention Collective Nationale (CCN) est en cours. L’UNSA-Ferroviaire, après avoir validé le champ d’application, s’implique activement dans la construction d'un socle social de haut niveau.

L’UNSA-Ferroviaire n’a pas attendu le début des négociations de la Convention Collective Nationale du Ferroviaire pour être force de proposition. En syndicat responsable, elle a mis en place un Groupe de Travail regroupant des cheminots militants de tous métiers, dont des ASCT.


Par sa présence à bord des trains, le Chef de bord assure des missions de Sécurité, Sûreté, Service et Sauvegarde des recettes. Pour l’UNSA-Ferroviaire, dans un contexte de plus en plus complexe et d'évolution de la société, les contraintes et l’exercice du métier d’ASCT n’ont jamais été aussi difficiles.


L’UNSA-Ferroviaire revendique la reconnaissance du métier d’ASCT, et l’attribution du statut de personnel ROULANT dans son intégralité, dans la future CCN de la branche ferroviaire, pour l’ensemble des chefs de bord.
Dans le cadre de ces négociations, le statut de ROULANT pour tous les chefs de bord, revendiqué par tous les ASCT, est une des priorités de l’UNSA-Ferroviaire.


Face à une Direction qui organise le découpage par activités et par lignes, l’UNSA-Ferroviaire revendique le maintien de l’unicité du métier d’ASCT et la création d’un véritable parcours professionnel, choisi par l’agent.

L'UNSA-Ferroviaire s’opposera à une convention collective de « moins disant social », et exige qu’elle soit au moins équivalente au RH 0077. L'UNSA-Ferroviaire, syndicat proche du terrain, à l'écoute des agents.

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Titre-Restaurants SNCF

 

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L'UNSA vous les sert sur un plateau en 2016*

Dès 2016, les titres-déjeuners seront ouverts aux agents ne bénéficiant d’aucune possibilité de restauration collective ni de compensation de l’Entreprise (panier, remboursement de frais).

Mesure réservée aux salariés situés à plus de 10 minutes à pied d'un site de restauration d’Entreprise du GPF SNCF avec effet au 1er octobre 2016.

Valeur facial 7 € financée à 50 % par la SNCF


L'UNSA, en négociations sur le sujet avec la SNCF depuis févier 2015, se félicite de cette avancée sociale, en faveur du pouvoir d'achat des salariés.

Grace à l’engagement et l’impulsion de l’UNSA-Ferroviaire, un premier pas a été franchi au Groupe Public Ferroviaire SNCF. Une partie des Agents dépendants du CE Gestionnaire Infrastructure (GI) bénéficie désormais du Chèque Déjeuner.


Dès 2016, cette nouvelle mesure* sera étendue à tous les salariés SNCF éligibles.

*sous reserve de valisation de l'accord.

 

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Intégration Sociale SNCF

 

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Négociations UNSA payantes !

Experte en Métiers, leader réformiste du Groupe Public Ferroviaire SNCF et de la Branche, l'UNSA-Ferroviaire construit un socle social de haut niveau avec l'obtention de nouveaux droits pour tous les salariés.
Un travail fourni pour de nouveaux droits acquis. 18 mois d'échanges, au travers 10 Groupes de Travail mobilisant des centaines de militants, auront permis aux négociateurs UNSA de présenter des revendications et arguments étayés à la Direction SNCF. L'ensemble des accords de substitution RFF/SNCF validés par l'UNSA ou en cours de négociation, intègre bon nombre de nos propositions en faveur d'un cadre social valorisant et de haut niveau, pour tous les salariés rassemblés à la SNCF.


Avancées obtenues pour l’ensemble des agents du Groupe Public Ferroviaire : (Sous réserve de validation de l'accord)

Tickets-restaurants :

Attribution de Tickets-Restaurant à tous les cheminots sous certaines conditions. Les titres-déjeuners seront ouverts aux agents ne bénéficiant d’aucune possibilité de restauration collective ni de compensation de l’Entreprise (panier, remboursement de frais). Cette mesure est réservée aux salariés situés à plus de 10 minutes à pied d'un site de restauration d’Entreprise du GPF SNCF avec effet au 1er octobre 2016. Grâce à la pugnacité de l'UNSA, la valeur nominale du TR sera de 7€ avec 50% de prise en charge par l'employeur. L’expérimentation menée à Etoile du Nord, obtenue par l'UNSA au GI, est maintenue jusqu'au 1er octobre 2016. L'UNSA revendique seule une part employeur portée à 5,36 €, optimisation légale au titre de la loi de finance 2015.

Plan d'Epargne Entreprise au niveau GPF SNCF :

Dès fin octobre une négociation sera ouverte sur une évolution du PEE à destination de tous les salariés du GPF, afin de se diriger vers un Plan d'Épargne de Groupe. Elle conduira à la mise en oeuvre d’une offre identique aux salariés des trois EPIC. L’UNSA annonce d’ores et déjà sa volonté d’améliorer les conditions d’abondement. Ce dispositif permettra également de bonifier et de défiscaliser l’intéressement versé en 2016.

Majoration de la prise en charge enfant malade :

La Direction s’engage à réétudier rapidement avec la COFASS, une majoration de la prise en charge des frais de garde en cas d'enfant malade.

Complémentaire santé et Prévoyance des contractuels

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Les contributions de l'UNSA retenues

- Améliorations des prestations existantes

- Nouvelles prestations

- Equité entre tous les contracuels à la SNCF

La réforme du ferroviaire a entraîné la renégociation des accords de Protection Sociale Complémentaire (Prévoyance et Frais de santé). L’UNSA, s’appuyant sur les réflexions d’un groupe de travail interne de militants, a largement contribué à l’amélioration du régime.
Il s’agissait :

  • D’harmoniser les deux régimes de protection sociale complémentaire RFF et SNCF.
  • De respecter la nouvelle législation concernant les minima et maxima de remboursements (« paniers responsables »), sans alourdir les cotisations, tout en préservant l’équilibre du régime.
  • De consolider un régime de base (dit « socle ») Frais de santé suffisamment attractif pour que les salariés ne soient plus tentés d’adhérer à l’option (dite « sur complémentaire »)

Les deux régimes étant très différents, et faute de temps pour lancer un nouvel appel d’offres, il a été décidé d’élargir le contrat HUMANIS aux agents de RFF, d’autant plus que le contrat MALAKOFF MEDERIC de RFF ne correspondait plus aux nouvelles obligations légales.


L’UNSA-Ferroviaire, forte de son expertise, a demandé la création d’une nouvelle prestation de prévoyance, a souhaité l’extension du maintien de salaire pour les agents de RFF dans les mêmes conditions que ce qui existait déjà pour les salariés de SNCF, et a proposé des améliorations de garantie en Frais de santé importantes :

  • Amélioration de la prise en charge des inlay/onlay et du remboursement des prothèses dentaires,
  • création d’un forfait annuel pour des médecines alternatives,
  • hospitalisation prise en charge aux frais réels,
  • création d’une indemnité de frais d’obsèques,
  • maintien de salaire pour les agents de RFF à l’identique de l’existant chez SNCF,
  • amélioration des rentes veuvage.

Contrairement à ce qu’elle affirme, en pillant sans vergogne le travail de fond de l’UNSA, la CFDT n’a contribué au débat que sur le sujet des cures thermales (!). Quant à CGT et SUD, nous n’avons relevé aucune contribution notable. Par honnêteté intellectuelle, la CFDT aurait pu également dire aux cheminots que c’est uniquement grâce à la bonne santé financière du régime que les cotisations connaitront une baisse de 10 à 15%, par la simple mise en oeuvre d’un taux d’appel, prévu au contrat, et décidé par la commission de surveillance…


Rien à voir avec les négociations !


Comme toujours, il y a ceux qui prétendent améliorer le quotidien des cheminots… Et il y a ceux qui y contribuent réellement, sans publicité mensongère ni parti pris.

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Le Mag 807

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CCGPF 13/12/2017

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