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Les Tracts

Expérimentation Titres - Restaurant GI SNCF

 

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Titres - Restaurant SNCF Août 2015 au GI

 

L’EXPÉRIMENTATION de dotation des TITRES-RESTAURANT pour les 650 AGENTS du BATIMENT de l’ETOILE du NORD de la Direction de l’Infrastructure démarre au mois d'AOÛT 2015.

 Valeur faciale unitaire 8 € (financement SNCF 4 € / Salarié 4 €)

L'UNSA-Ferroviaire depuis son vote positif en Comité d'Etablissement du GI a entrepris de nombreuses démarches afin que les moyens du CE (vos cotisations) ne rentrent pas en ligne de compte. Après une DCI, une lettre ouverte au Secrétaire du CE et de multiples interventions auprès de l'Entreprise, la SNCF prend finalement en charge toute la logistique de distribution. Votre dotation CE reste donc constante !

L'UNSA, à l'initiative de cette dotation par sa démarche début 2015 avec la Direction de l'Entreprise (demande d'étude de faisabilité), se félicite de cette première phase conforme à sa revendication.

 

L'UNSA entend booster votre pouvoir d'achat, par un travail d'élargissement de dotation au sein des 3 EPIC (SNCF, Mobilités et  Réseau).

 

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Transport - Mouvement : Roulement 3X8

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Une réel contrainte !

Avec une vraie rémunération de cette pénibilité !

Pour faire circuler les trains toute l’année jour et nuit, l’Entreprise s’est dotée de postes d’aiguillage mécanique, électromécanique et aussi, depuis quelques années, de nouveaux postes appelés « Commande Centralisée du Réseau » (C.C.R.).


La majeure partie des agents travaillant dans ces postes d’aiguillage (anciens ou grands postes C.C.R.), dans les Unités Opérationnelles (U.O.), dans les Centres Opérationnels de la Gestion des Circulations (C.O.G.C.), est soumise au travail décalé (nuits, week‐ends et fêtes), en 2x8 ou en 3x8. Toutes les études médicales faites sur ce sujet l’attestent : le travail en horaires atypiques perturbe les rythmes biologiques, notamment le sommeil et l’alimentation. Le service décalé provoque également des troubles de la vie privée et de la vie sociale. Les accidents de travail et de trajet sont aussi plus fréquents la nuit.


Pendant leur service, les agents sont également amenés à travailler systématiquement sur de nombreux écrans informatiques (parfois plus de 12), générant des fatigues supplémentaires, notamment oculaires. La multiplicité des sollicitations visuelles posent aussi de nombreux problèmes de concentration, qui peuvent mettre à mal la Sécurité. Ces contraintes, incontournables pour la continuité du service public et commercial, touchent tous les agents de ces postes, mais aussi les agents de réserve et l’encadrement qui est de plus en plus sollicité pour tenir les postes par manque de personnel !

Cependant, si l’on compare les Postes d’aiguillage, les U.O., et les C.O.G.C. aux autres entreprises, et même aux autres services de la SNCF, une évidence s’impose : ces sujétions ne sont ni compensées, nni rémunérées à leur juste valeur.

L'UNSA-Ferroviaire revendique :

  • Une amélioration de la rémunération des nuits, avec l’intégration des primes de nuit dans les salaires.
  • La création d’une indemnité pour le week-end (payée les samedis comme les dimanches et fêtes).
  • Un doublement des primes pour le travail effectué de nuit.
  • Une attribution d’une indemnité d’utilisation à la réserve du personnel égale à 100% de la prime de travail, dès le premier mois d’utilisation.
  • Une valorisation de la pénibilité abondée par l’Entreprise.
  • La création d’une prime spécifique pour tout travail sur écran.

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Transport - Mouvement : C.C.R

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C.C.R ou la Commande qui Conduit

à la Réduction du personnel !

 

Depuis plusieurs années, l’Entreprise a entamé une centralisation poussée de la gestion du trafic à travers la construction de nouveaux postes d’aiguillage appelés "Commande Centralisée du Réseau".

Cette modernisation des postes C.C.R. nécessite un budget colossal dont le coût global est estimé à 10 milliards d’Euros. La Direction nous vante l’avenir de jours meilleurs avec ces nouveaux postes du futur. Cependant, comme toujours, ces belles évolutions technologiques s’accompagnent d’une productivité induite. Même si celle‐ci se trouve parfois réduite par le départ naturel d’agents en retraite, elle est bien réelle et les solutions de reclassement sont parfois longues, les passerelles étant devenues périlleuses entre les différentes Activités !


Pour les agents qui intègrent ces nouveaux postes, une formation spécifique s’avère nécessaire dans les différents domaines « technique », « consigne / poste de travail », « environnement de gare ».


Mais, de nouvelles problématiques apparaissent comme :

  • L’augmentation du risque routier, car souvent ces nouveaux postes ne sont pas proches d’une gare (le nombre important de places de parking en est la preuve !).
  • Le manque notoire de fiabilité de l’outil MGpt (alors que la Direction vante sa robustesse dans la réalisation de travaux !).
  • Une multitude d’écrans informatiques (parfois plus de 12) à gérer, où les agents déplorent le manque de lisibilité de certaines informations (ex : numéros d’aiguilles, etc…).
  • Un contexte de travail particulièrement bruyant, notamment en situation perturbée avec une ambiance sonore dégradée !

L'UNSA-Ferroviaire revendique :

  • une meilleure prise en charge RH de l’avenir professionnel des agents lors de la création de nouveaux postes CCR,
  • une amélioration de la qualité des outils informatiques utilisés pour faciliter le travail des opérateurs,
  • une réelle étude de l’environnement de travail par le Département Facteurs Humains.

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Appel d'offre démantèlement TGV A

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Une démarche qui trahit les ambitions de la SNCF !

 

La SNCF a lancé un avis d'appel à la concurrence, qui prend fin le 31 juillet, pour démanteler, sur 10 ans, 104 rames TGV, ce qui représente l'équivalent d'un quart de son parc TGV actuellement en fonctionnement. 24/07/2015 17:47:53 - Paris, 24 juil 2015 (AFP) - © 2015

L’été est toujours propice aux mauvaises surprises. Ainsi on apprend par une dépêche AFP du 24 juillet 2015 qu’un appel d’offre SNCF va être lancé pour déconstruire les 104 rames TGV A.


Cette annonce a de quoi perturber encore plus les agents du Domaine Matériel, même si pour Romilly d’autres charges de démantèlements sont annoncées. L’annonce ne rassure pas l’ensemble des Technicentres industriels, visiblement la concurrence est aussi sur le démantèlement alors que la charge de rénovations manque. C’est incompréhensible !


A quoi joue la SNCF ? Elle réalise la déconstruction au Mans par des cheminots, elle filialise à Culoz et elle donne au privé à Chalindrey.

L’UNSA-Ferroviaire s’insurge contre la logique industrielle d’externalisation concernant la déconstruction. La déconstruction est une industrie en devenir et créateur d’emplois et pas un lot de consolation.

La SNCF doit se positionner clairement. L’UNSA fait des propositions concrètes :

  • POUR une ingénierie du démantèlement innovante,
  • POUR l’utilisation du démantèlement comme base de formation sur le produit train,
  • POUR une recherche soutenue afin d'améliorer les conditions de travail,
  • POUR la valorisation des déchets en économie circulaire conforme au grenelle de l’environnement,
  • POUR le maintien d’emplois dans les Technicentres,
  • POUR l’accompagnement social des agents impactés par des réorganisations.

L'UNSA-Ferroviaire est aux côté des cheminots du Matériel qu'ils soient à Romilly, Oullins, Bischeim ou ailleurs.

Le démantèlement est une opportunuité pour les cheminots, c'est une tâche noble et économiquement rentable.

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Le Mag 807

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Feux-Verts

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CCGPF 13/12/2017

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